Recevez la lettre mensuelle de Politique Magazine

Fermer
Facebook Twitter Youtube

L'imagier

Imagier

– Et alors, cette retraite, ça se prépare ? – Oui, tu devrais t’y mettre.

Dernier numéro paru

Au sommaire

ÉDITORIAL Loin de la France, par Philippe Mesnard

ACTUALITÉ La troisième guerre d’Algérie est commencée, par Hilaire de Crémiers

DOSSIER JD Vance, l’atout discret de Donald Trump ? par Jean Bouër

MONDE Le doigt dans l’œil, avec constance et détermination, par Georges-Henri Soutou

CIVILISATION Nuisibles, la chronique de Claude Wallaert

En vidéo

Prix de la Presse Libre

Les plus lus

Tribunes

La troisième guerre d’Algérie est commencée

La troisième guerre d’Algérie est commencée

Par Hilaire de Crémiers

La troisième guerre d’Algérie est commencée. À l’heure où ces lignes s’écrivent, soit le 25 novembre, toujours aucune nouvelle de Boualem Sansal. Il est emprisonné, vraisemblablement à Alger où il a été arrêté à la sortie de l’aéroport le 16 novembre venant de France. Évidemment sans droit, par pur arbitraire d’un gouvernement tyrannique qui ne supporte pas la contradiction. Au mépris du droit français dont il relève, car il a la nationalité française, et qui aurait dû s’exercer naturellement et immédiatement par une intervention diplomatique et juridique au plus haut niveau. Ce qui n’a pas été le cas, bien sûr.

Editoriaux

Tous les articles

Vidéos

Prince Jean : un roi pour la République ? (2ème partie) – Les Conversations de P.-M. Coûteaux n°52

Prince Jean de France : La question de la République est posée – Les Conversations n°51 – TVL

Politique Magazine : l’analyse d’Hilaire de Crémiers sur la situation…de la France et du monde…

Entretien avec Hilaire de Crémiers sur TV Libertés

Toutes les vidéos

Civilisation

Civilisation

En pleine littérature

En pleine littérature

Par Michel Bouvier

Ou en pleine déconfiture ? Il est vrai que la littérature se porte mal, mais plutôt moins mal que l’homme, qui la produit, lequel chemine inéluctablement en étourdi vers la mort. La saison est mauvaise. Mais c’est justement dans ce sale temps-là que vient Noël, avec son étoile, et ses lumignons, avec son Enfançon royal, reçu dans une mangeoire comme une nourriture attendue. Fermons les volets, allumons le feu, et fêtons ces mystères, dont celui de l’écriture, de toutes ces écritures qui sont les petits de l’Écriture Sainte. « Laissez venir à moi les petits enfants. » Qu’ils viennent donc, les petits écrivains, qu’ils sortent de leurs boîtes de papier, qu’ils entonnent leurs chants de gloire.

Civilisation

La déspiritualisation du Verbe ou la littérature comme astre mort

La déspiritualisation du Verbe ou la littérature comme astre mort

Par Louis Soubiale

Excepté le petit monde consanguin de la germanopratinité littéraire parisienne, nul ou presque ne peut ignorer le blog Stalker (sous-titré éloquemment « Dissection du cadavre de la littérature ») fondé et animé par Juan Asensio, critique atrabilaire bernanosien (il tient Monsieur Ouine, qu’il a lu maintes fois, pour son livre de chevet) faisant pleuvoir ses méphistophéliques philippiques bloyennes sur les écrivassiers contemporains ayant la fatuité de concevoir leur incontinente production excrémentielle annuelle comme de la littérature.

Tous les articles

Tribunes

Tous les articles

France

Tous les articles

Monde

Monde

Le doigt dans l’œil avec constance et détermination

Le doigt dans l’œil avec constance et détermination

Par Georges-Henri Soutou

Les intellectuels français se sont fabriqué une Allemagne idéale, à leur mesure, tout comme les intellectuels américains ont fabriqué des États-Unis Démocrates : ce qui ne va pas dans le sens de leur histoire est réputé vestige de peu d’intérêt. De même les think tanks européens, totalement financés par les États-Unis, projettent une image du monde qui ne sert que les intérêts états-uniens.

Monde

JD Vance, l’atout discret de Donald Trump ?

JD Vance, l’atout discret de Donald Trump ?

Par Jean Bouër

Pour une partie des grands médias, l’élection de Trump serait le retour à la case départ : celle de 2016 avec un président à l’accent tonitruant, défiant la mondialisation. Mais la « cuvée » 2024 est en fait différente. Ne serait-ce que par le ticket proposé aux électeurs qui a associé au magnat new-yorkais une voix de l’Amérique profonde : celle de James David Vance, ce sénateur issu de l’Ohio. Comme si la droite américaine vivait une sorte de « retour au réel » avec une figure différente de ce que l’on a connu jusqu’ici.

Tous les articles