Depuis cent-cinquante ans, l’esprit bourgeois est hégémonique en Occident.

Vous ne connaissez pas Saki ? Quelle chance ! vous allez pouvoir découvrir un auteur des plus talentueux et des plus drôles, grâce à Gérard Joulié qui l’a traduit, et publie ses nouvelles intégrales sous le titre Le Parlement infernal (éd. Noir sur blanc).

L’affaire est entendue : il y a bien deux justices en France. C’était su, maintenant c’est prouvé.

« Au secours, la droite revient ! » Ce cri n’a pas seulement agité ces dernières années le monde politique, mais aussi le monde catholique. Pouvait-il y échapper ? Bruno Dumons pose la question en ouvrant ce recueil : « Cette “droitisation” du catholicisme ne serait-elle pas, au final, l’expression d’un phénomène politique plus global et transnational concernant le renouveau conservateur dans les sociétés occidentales, profitant ici d’un retour de balancier post-conciliaire, propre au catholicisme romain ? ». Reste à savoir comment ce conservatisme ferait retour dans les milieux catholiques, et quelles seraient les influences importantes.

Le catholique doit être politique. C’est-à-dire qu’il n’a pas le droit de s’abstraire des affaires de la Cité. Même reclus au cœur de l’ermitage le plus sauvage, ses pensées doivent être tournées vers son salut et celui de ses frères. Cette nécessité politique a souvent été réaffirmée par le Vatican, et même pratiquée, avec des fortunes diverses.

« Au secours, la droite revient ! » Ce cri n’a pas seulement agité ces dernières années le monde politique, mais aussi le monde catholique. Pouvait-il y échapper ? Bruno Dumons pose la question en ouvrant ce recueil : « Cette “droitisation” du catholicisme ne serait-elle pas, au final, l’expression d’un phénomène politique plus global et transnational concernant le renouveau conservateur dans les sociétés occidentales, profitant ici d’un retour de balancier post-conciliaire, propre au catholicisme romain ? ». Reste à savoir comment ce conservatisme ferait retour dans les milieux catholiques, et quelles seraient les influences importantes.

Pour qu’on se sente en sécurité, il faudrait deux choses : qu’il y ait moins d’incivilités – qui vont du crachat à la tentative de meurtre – et, surtout, que celles-ci soient punies. Mais si punir tous les Français est devenu la règle, punir les délinquants est une autre affaire. La réponse pénale de l’État est très faible, en proportion inverse du sentiment qu’elle génère.

Nous sommes en 1978, Serge et Martine viennent de se marier et vivent dans un appartement en banlieue parisienne, Martine attend leur premier enfant, c’est une petite fille qui viendra illuminer leur foyer.

Un terrorisme aux racines historiques déjà anciennes et solides.

De Violaine Arsac. Mise en scène Violaine Arsac. Avec Grégory Corre, Noémie de Lattre, Marie Bunel et Mathilde Moulinat

Mon cousin Barnabé, qui est l’imprudence et le manque de discernement mêmes, a eu le malheur de proférer publiquement un de ces mots qu’il ne faut pas dire.

Avec Et maintenant, voici venir un long hiver…, Thomas Morales nous offre une galerie de portraits des Trente Glorieuses qui magnifie la France d’avant. Il honore, entres autres, Jean-Paul Belmondo auquel il voue un culte, Marie Laforêt dont on ne parle jamais assez et l’artiste du football Diego Armando Maradona. Un livre de nostalgie vivifiante !