C’est un livre comme les fait Yves Chiron. Une précision dans la documentation qui alimente une analyse exhaustive du sujet traité. Là, il s’agit d’une biographie, genre dans lequel excelle l’auteur.

Un travail considérable comme en fournit si régulièrement notre ami Jean Sévillia. Et absolument passionnant pour qui s’y plonge. Car il ne s’agit pas simplement d’une accumulation de faits, d’un ensemble de considérations historiques et politiques qu’une bibliographie impressionnante vient illustrer.

Ça n’a pas de nom. Notre ami Stéphane Buffetaut nous livre ses réflexions sur l’actualité de ces toutes dernières années.

Il était une fois… En ce temps-là, celui qui exerçait la fonction de chef de l’État en France, était un homme calme et mesuré, plein en toute circonstance d’une dignité souveraine. Grave quand il assumait ce qu’il considérait comme son devoir d’état, enjoué et amène dans la vie courante, sans jamais rien d’excité ni de précipité.

L’égalité dont la France, plutôt la République française qui prétend se substituer à elle et parler pour elle, a fait son idole préférée, celle qui doit entraîner l‘adhésion des Français, est la plus grossière tromperie dont les gardiens du temple républicain usent et abusent pour installer, renouveler et consolider leur pouvoir.

Philippe de Villiers n’a peur de rien. La hardiesse est dans son tempérament. Vivre dans la peau, dans l’esprit, dans l’âme du Roi-Soleil et parler avec sa bouche, sa langue, ses mots, ses pensées et ses humeurs relève d’une gageure qui suppose une violente amour du Roi.

La vertu définit l’homme par rapport à ce qu’il a de meilleur dans son humanité : une conduite personnelle conforme à son être raisonnable et à sa vocation sur cette terre où il doit remplir la tâche que lui assignent les circonstances, sa naissance, son devoir d’état, son rôle social, sa destinée personnelle déterminée ou choisie selon les cas.

Anne Bernet, historienne accomplie de la Vendée militaire et de la chouannerie, excelle dans les biographies et se spécialise, ces derniers temps, dans les vies de saints, en particulier de ceux dont les procès sont en cours et où elle est partie prenante.

Le temps est venu des bilans avant la catastrophe prévisible.

Que l’auteur, Alain Monestier, un ami, me pardonne ! Je me sens impuissant à faire la recension de son livre.

Notre ami François Schwerer, écrivain de Marine connu et apprécié, qui a déjà écrit plusieurs livres sur la Marine française pendant la guerre de 14-18 et une biographie remarquable de son arrière-grand-père, l’amiral Schwerer, nous donne aujourd’hui une vie de l’amiral Courbet, Anatole, Amédée, Prosper.

C’est un mémorial. Non pas l’histoire d’une vie, encore que beaucoup en soit dit ; plutôt le récit d’un itinéraire intellectuel. Et pas n’importe lequel.