Voulez-vous vous promener dans Lille, tout en connaître ou presque tout ? Et en riant, sinon en souriant ? En ayant l’avantage d’une compagnie royale, de Louis XIV lui-même qui connut et aima Lille ?

Ce petit dictionnaire maurassien mérite la plus vive attention. Il est simple, il est clair, il est bref et, ma foi, il est complet.

Ce n’est pas un roman ; c’est un récit. Il raconte une histoire qui est toute une histoire et qui est tout simplement toute l’histoire.

Voilà un roman bien plaisant à lire. Il est de notre ami et chroniqueur littéraire Michel Bouvier. Ce n’est pas le premier qu’il écrit !

C'est un livre qui réécrit l’histoire en vrai et, en particulier, l’histoire contemporaine. L’auteur utilise les sources les plus variées pour expliquer les évènements dans lesquels l’Allemagne s’est trouvée jetée.

Encore à propos de Guynemer, Quatre questions à Christophe Soulard-coutand

L’homme qui est à la tête de la France, n’aime pas son pays. Au mieux, il fait semblant. Pour lui, la France est une nation dépassée. L’Europe seule compte dans son esprit. Il ne cesse de le dire. « Je suis venu vous parler d’Europe, a-t-il déclaré à la Sorbonne. Encore, diront certains. Ils devront s’habituer parce que je continuerai. Et parce que notre combat est bien là, c’est notre histoire, notre identité, notre horizon, ce qui nous protège et ce qui nous donne un avenir. »

Il est terrible pour un pays d’avoir pour chef un esprit faux.

La gloire de Macron passe comme la fleur des champs du printemps. Peut-être serait-il utile de comprendre pourquoi ?

Car c’est bien le sujet de l’heure. L’homme est pressé d’agir. Il joue le chef. La situation en exige un, de fait. Il n’en est qu’au début : il a déjà commis des erreurs, des fautes. Connaît-il suffisamment la vie, les choses de la vie, la politique, la France réelle, l’Europe dans sa complexité, le monde qui n’est pas forcé d’obéir à ses impulsions juvéniles ?

Président d’Eurogroup Institute, économiste, essayiste, Hervé Juvin explore, à l’approche de l’élection présidentielle, les enjeux civilisationnels et les nouveaux rapports de force politiques qui en émanent.

Jamais campagne électorale pour l’élection présidentielle n’aura plongé la France aussi bas. Les Français ont de quoi être écœurés. Il est vrai que la République a toujours fait bon ménage avec les scandales : son histoire depuis l’origine en est jalonnée.