Dans son livre L’écologie ou l’ivresse de table rase, la philosophe Bérénice Levet dénonce avec force le « totalitarisme vert » des nouveaux écologistes et plaide pour une écologie « des sens et de la gratitude ».

Il y a 77 ans paraissait le journal Tintin. Défunt en 1988, il reparaît sous la forme d’un numéro unique et exceptionnel de 400 pages où toutes les vieilles gloires du magazine sont célébrées avec tendresse et humour.

« Ce monde n’a plus aucune tenue. Il est temps de le faire convulser à nouveau. »

Les hommes ne peuvent s’empêcher de tripatouiller l’œuvre divine pour en faire « leur affaire ». Y compris le culte divin !

On peut approcher l’islam de mille manières, sociologique, historique, géopolitique…

Puisque J. P. Winkler, journaliste lui demande, en 1957, de raconter sa vie, flairant que Wodehouse, né en 1881 dans le Surrey et mort en 1975 à New York (mais ça, il ne le savait pas), a des choses à raconter.

« Au mois de Dumuzi, un loup était couché dans le quartier de la rive ouest de l’Euphrate et on le tua. Au mois d’Ab, des médecins virent un blaireau à la porte d’Uras, devant la porte de l’administrateur du temple. Au mois de Tesrit, le 25e jour, une panthère vivante dériva sur le fleuve, derrière l’Égidri-kalama-sumu, on la tua et la hissa sur terre pour l’emporter. »

C’est à pleurer. Pleurer d’émotion, de grâce, de douce vérité. Florence Cotte témoigne comme seules peuvent témoigner des mamans.

Lire ce livre est un crève-cœur pour qui s’intéresse à l’histoire européenne. Tant d’occasions manquées et, pourtant, tant de génies politiques.

En 1952, François Mauriac recevait le prix Nobel en raison de « la profonde imprégnation spirituelle et l’intensité artistique avec laquelle ses romans ont pénétré le drame de la vie humaine. »

Antoine lit des livres. Antoine lit beaucoup. Antoine lit Trollope et Le Guillou, Jules Verne et Morozov.

Qui, lycéen, étudiant ou bien sûr homme politique, ne prétend pas avoir lu Tocqueville ?