Civilisation
Splendeur du rêve polonais
Jean Hautepierre a décidé, il y a longtemps, que la tragédie classique en alexandrins n’était pas un genre périmé.
Civilisation
Jean Hautepierre a décidé, il y a longtemps, que la tragédie classique en alexandrins n’était pas un genre périmé.
France
Il y a dans le dernier roman d’Olivier Maulin tout ce qu’on aime chez lui : un pays, les Vosges, décrit avec amour, des personnages truculents, un fantastique naturel, comme dans Marcel Aymé, de belles envolées politiques, des aphorismes glissés mine de rien au fil des pages, quelques situations grotesques décrites avec un ton rabelaisien, une véritable tristesse qui sourd parfois, tristesse devant l’enlaidissement du monde, l’enténèbrement des temps et la crétinisation des esprits, et quelques joyeuses charges contre les bienpensants.
Civilisation
Quand il écrivit sa Vie de Jésus (Fayard, 2011), Jean-Christian Petitfils mobilisa le Saint Suaire comme l’un des documents originaux, probants et authentiques que l’historien honnête ne peut écarter.
Civilisation
Fondée en 1144, l’abbaye de Beaulieu fut détruite par les protestants au XVIe, relevée au XVIIe, vendue en 1791, classée en 1875…
Civilisation
En des époques où le festivisme n’était pas obligatoire et où se donner en spectacle ne signifiait pas assister à des performances artistiques douteuses mais payer de sa personne, en tournoyant, en dansant, en défilant, les fêtes royales étaient l’occasion de montrer la puissance du souverain, nimbée de la joie du divertissement.
Civilisation
Il était une fois Ducron, pèrubu de la République, et Olivier Virus, sinistre de la Sanitocratie, et Tartarin Blaguier, médicastre, et Aucassin, amoureux de Nicolette, qui est amoureuse d’Aucassin, et donc rien ne va dans ce monde qui n’est...
Civilisation
Un livre qui mêle Drumont et la Comtesse de Ségur, Dom Guéranger et Céline, Maurras et Dupanloup, proclame assez, dès la table de matière, la liberté d’esprit et la culture de son auteur.
Civilisation
Qui aurait cru que Boldini se révélerait comme un peintre audacieux ? On avait l’impression d’une peinture datée, trop habile, trop mondaine, alignant des portraits chics et chocs comme un photographe à la mode mitraille les soirées des jeunesses dorées du moment.
Civilisation
Paul de Sinety et Olivier Cariguel dirigeaient la revue, Stéphane Giocanti, professeur de Français, avait réalisé avec moi un entretien avec Millet, qui n’avait pas encore, me semble-t-il, abandonné le métier. Il venait de publier Le Sentiment de la...
Civilisation
Louis-Léopold Boilly est un irritant virtuose. Son talent de portraitiste est évident, ses trompe-l’œil sont saisissants, il rend les étoffes comme un peintre du XVIIIe et saisit les scènes parisiennes avec une intelligence mêlée d’ironie servies par un regard photographique et des compositions très narratives. Mais enfin, tout ça pour ça, est-on tenté de dire ? On rêverait d’un sujet grandiose pour que toutes ces qualités s’exercent sur des sujets plus dignes de notre admiration.
Civilisation
Quel plus beau refuge que la littérature ?
Civilisation
Voilà une exposition tout à la gloire de la Bourgogne, de ses héros et de ses œuvres.