Monde

Quel futur pour l’Arménie ?
Ils étaient trois à table. Au centre, Donald Trump engrangeait une nouvelle victoire de sa diplomatie des accords, des deals et des annonces tonitruantes.
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Ils étaient trois à table. Au centre, Donald Trump engrangeait une nouvelle victoire de sa diplomatie des accords, des deals et des annonces tonitruantes.
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Le 22 juin, un dimanche, les fidèles de l’église Mar Elias de Damas ont été victimes d’un attentat islamiste en pleine messe. Au moins 27 personnes ont été tuées et des dizaines blessées. La communauté grecque orthodoxe syrienne pleure des amis, des frères, des filles déchiquetés par les balles puis la ceinture explosive d’au moins un assaillant islamiste. C’est une première attaque directe contre des chrétiens en prière à Damas depuis la fin du XIXe siècle.
Monde
Des millions de Syriens vivent de l’espoir que l’annonce de la levée des sanctions européennes et américaines changera leur vie. Pour beaucoup, le sommet de l’État importe peu tant qu’il se charge d’adoucir le calvaire économique et social qu’ils subissent depuis 2011. Le soulagement était donc palpable, le 13 mai 2025, quand Donald Trump a annoncé, depuis l’Arabie Saoudite, que les États-Unis mettraient fin à une grande partie de leurs mesures coercitives contre Damas, avant d’être suivi par le Conseil européen une semaine plus tard.
Monde
Il y a 110 ans, le 24 avril 1915, la folie sanguinaire des Jeunes Turcs s’abattit sur les Arméniens, les Assyriens, les Syriaques et les Grecs de l’empire ottoman finissant : les uns furent assassinés, les autres enlevés, frappés, déportés, toute une élite fut décapitée. Des colonnes allaient bientôt traverser les déserts, les femmes confiant leurs enfants, avant de succomber à la chaleur torride, aux sévices, au désespoir.
Monde
C’est la question qui taraude les familles des otages du 7 octobre encore détenues dans la bande de Gaza, les orphelins et les parents éplorés de Palestine comme les chancelleries du monde entier, à quelques tristes exceptions près.
Monde
En Syrie, la fête est finie. Après le grand relâchement qui a suivi la chute du gouvernement Assad, le 8 décembre 2024, l’heure était à la fête dans les chancelleries et les rédactions. Le dirigeant honni et toute l’histoire récente du parti Baas syrien disparaissaient et, avec eux, des décennies d’affrontements, de défiances, semés d’horreurs.
Monde
Le Liban a un nouveau président de la République depuis le 9 janvier 2025. Joseph Aoun, entré à l’académie militaire libanaise en pleine guerre civile, a gravi tous les échelons de l’institution dans laquelle nombre de ses compatriotes ont placé leurs derniers espoirs.
Monde
Il y a un mois à peine, Benjamin Blanchard, directeur général de SOS chrétiens d’Orient et grand connaisseur de la Syrie, me confiait combien il trouvait la situation détériorée dans le pays que dirigeait encore le président Assad. Le moral était au plus bas, la situation économique et sociale encore plus déplorable qu’au plus fort de la guerre civile et l’émigration sur toutes les lèvres.
Civilisation
Saint Nicolas est venu. Vos maisons s’ornent des sapins, crèches et couronnes qui habillent l’Avent et Noël. Et, immanquablement, ma chronique du mois de décembre vous convie à l’engagement généreux au service des chrétiens d’Orient.
Monde
Au moment, où j’écris ces lignes, nous ne savons pas si les plans proposés de désescalade entre le Liban et Israël auront des lendemains positifs. La multiplication des acteurs intéressés par les conséquences du conflit, la désespérance des populations et les inextricables arcanes de la vie politique du pays du Cèdre comme de Tel Aviv ajoutent leurs obstacles à la recherche de la paix.
Monde
Le Liban et Israël sont des voisins qui s’embarrassent. Et ils le sont peut-être car ils sont sans cesse sommés de répondre à la même question : comment survivre ? Chacun sait bien sa leçon politique : une nation vit quand son ordre intérieur lui assure de ne pas être une proie pour les puissances qui la jouxtent. Elle survit aussi si ces puissances ne lui veulent ou ne lui peuvent aucun mal.
Monde
C’était promis. C’était juré. La vie politique ne s’y ferait plus reprendre. Après l’implosion de la Syrie et l’expansion de l’Organisation État Islamique, chacun affirmait, la main sur le cœur, que le sort des chrétiens d’Orient ne déserterait plus la vie médiatique comme le débat public.