Encore un livre sur l’inceste me direz-vous. Certes ! ce sujet nous inonde, dégouline des pages littéraires, et fait bien souvent les prix et les succès d’hier et d’aujourd’hui.

De Willy Russell, Mise en scène Owen Doyle et Katie Haigh Mayet. Avec Maxime-Lior Windisch et Owen Doyle

Nous pouvons être fiers de nos romanciers. Pas de tous, bien sûr, mais fiers de ceux que le respect de notre langue et de notre tradition littéraire conduit à peindre avec finesse et pénétration une part de notre histoire contemporaine, comme fit Anatole France en son temps. En voici deux : Serge Joncour, qui publie Chaleur humaine, et Jean-Michel Guenassia, qui nous donne À Dieu vat, tous les deux chez Albin Michel.

Le père de Berthe Morisot, préfet à Limoges, y créa un musée des Beaux-Arts. Une des premières œuvres données fut un ravissant portrait de Nattier.

Le premier spectacle de Christian Spuck en tant que nouveau directeur du Ballet d’État de Berlin a remporté un énorme succès lors de sa création le 20 octobre. Les 79 artistes de la plus grande compagnie de danse d’outre-Rhin et l’Orchestre de l’Opéra allemand étaient convoqués pour cette éblouissante production.

Fut un temps où l’école récompensait les bons élèves : croix et tableaux d’honneur, distributions des prix, livres laurés et armoriés aux armes de la ville et bons points enchantaient les enfants et faisaient la fierté des parents – ou leur cuisante honte.

La collection Le Spirou de… vient de s’enrichir d’un nouveau volume, Spirou et la Gorgone bleue, écrit par Yann et dessiné par Dany.

René d’Ambrières est un cas singulier parmi les historiens. Autodidacte, il aura attendu 70 ans passés avant d’écrire son maître-livre.

Voilà un livre puissant qui est, à ce jour, la réflexion la plus poussée sur la vie et l’œuvre de Joseph de Maistre.

De 1948 à 1951, Henri Matisse se lance dans une curieuse aventure : décorer une chapelle à Vence, attachée à un couvent de dominicaines.

Ou comment j’ai appris à ne plus me faire de soucis et à aimer la bombe (Dr. Strangelove or : How I Learned to Stop Worrying and Love the Bomb), selon le titre intégral de cette perle de la comédie satirique de Stanley Kubrick réalisée en 1964.

De Gustave Flaubert. Mise en scène et interprétation Sandrine Molaro et Gilles-Vincent Kapps.