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L’égalité dont la France, plutôt la République française qui prétend se substituer à elle et parler pour elle, a fait son idole préférée, celle qui doit entraîner l‘adhésion des Français, est la plus grossière tromperie dont les gardiens du temple républicain usent et abusent pour installer, renouveler et consolider leur pouvoir.
Notre ami Jean-Louis Harouel, avec sa vive intelligence et son souci de vérité historique et scientifique, poursuit sa croisade pour dénoncer la fausseté de ce culte pervers qui coûte si cher à la France. Il analyse pour la nième fois, mais cette fois-ci en un argumentaire puissant et ramassé, ce paquet de mensonges grossiers mais terriblement séducteurs, devenus le ressort de nos politiques, la règle de notre culture, le principe de notre philosophie, l’argument majeur de tous nos débats.
En quatre chapitres implacables de logique et de bon sens, il règle ses comptes à ce qui est un mal objectif doublé d’un vice social effroyable, qui ronge et qui tue la France, et, d’ailleurs, tout l’Occident. Les dégâts sont là : une France dévorée par ses pouvoirs publics et ses politiques de redistribution qui « bouffent » la substance française, l’égalité dans la nullité à quoi se résume son éducation nationale, la vulgarité du wokisme qui devient la fine fleur d’une société qui ne connaît plus la civilisation dont elle est issue. Tout ça, au nom d’un avenir meilleur qui nie les réalités les plus élémentaires de la vie.
Alors que l’inégalité est la loi même de la vie et du développement, épanouissant talents et saine diversité dans l’équilibre de la nécessaire complémentarité, pourvu que la justice soit respectée et que l’État fasse son métier en assurant ses prérogatives régaliennes, c’est-à-dire en garantissant la liberté et la sécurité. Tout y est dans ce traité, admirable de sagesse, d’intelligence et de connaissance. Et Jean-Louis Harouel de montrer encore une fois que ces sauterelles des idéologies malfaisantes sortent toutes du puits de l’abîme de l’éternelle hérésie qu’est la gnose pseudo-chrétienne, qui n’a rien à voir avec le dogme clair et pur du catholicisme et qui fausse les mystères de la vérité révélée pour en faire une mystagogie au service du mal et du Malin.
Civilisation
Pour le chrétien, il ne suffit pas d’établir qu’il existe un principe divin, une cause qui informe la matière et qui est distincte de la matière informée, comme aurait dit Claude Tresmontant, il faut encore établir que ce principe est Jésus-Christ.
Civilisation
Remarquable résumé en 160 pages de la question de l’énergie en France et qui constitue, comme le dit et le prouve l’auteur, un crime d’État. La France possédait le système énergétique le mieux conçu, le plus efficace, le mieux organisé dans le long terme et, de loin, le moins cher, comme le plus adapté aux fluctuations conjoncturelles, assurant à la France une complète souveraineté en ce domaine, une garantie sur l’avenir, une supériorité technologique, une avance industrielle avec des revenus réguliers à l’exportation. Tout ça fut bradé.
Civilisation
Il est de bon aloi dans certains milieux de ne trouver que peu d’intérêt à la littérature contemporaine, et en particulier au roman dont il est vrai que le fond ou la forme souffrent bien souvent d’un manque de tenue, de densité, d’universalité, des qualités, somme toute, qui ont permis l’émergence de ce qu’il est convenu d’appeler un classique.
Civilisation
Via Romana propose une réédition sous forme de plaquette de quelques considérations sur l’éducation de René Bazin, l’auteur des Oberlé, de La Terre qui meurt, de la première biographie de Charles de Foucauld.
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