Le catholique doit être politique. C’est-à-dire qu’il n’a pas le droit de s’abstraire des affaires de la Cité. Même reclus au cœur de l’ermitage le plus sauvage, ses pensées doivent être tournées vers son salut et celui de ses frères. Cette nécessité politique a souvent été réaffirmée par le Vatican, et même pratiquée, avec des fortunes diverses.