Recevez la lettre mensuelle de Politique Magazine

Fermer
Facebook Twitter Youtube

Article consultable sur https://politiquemagazine.fr

Le dessin, dans l’intimité de l’oeuvre

Facebook Twitter Email Imprimer

Le dessin, dans l’intimité de l’oeuvre

Dernier jour d’ouverture pour le Salon du dessin, qui expose jusqu’au 31 mars des centaines d’œuvres dans le superbe écrin du Palais Brongniart à Paris. De son côté, le musée Cognacq-Jay expose des dessins de François-André Vincent (1746-1816). Compagnons de notre enfance, les crayons, aquarelles ou pastels ont aussi été abondamment utilisés par les artistes des derniers siècles. A découvrir.

En dépit de ses œuvres qui peuvent se vendre très chères, le Salon du dessin offre au visiteur un sentiment de proximité artistique : qui ne se souvient des dessins de son enfance ? Crayon, aquarelle ou pastel sont les principaux instruments utilisés dans les œuvres exposées jusqu’au 31 mars au Palais Brongniart.

En tout, 39 galeristes font découvrir leurs trésors. La place est rare (et chère : 20 000 euros pour la semaine). Dessins figuratifs ou abstraits, maquettes pour un futur tableau, projets de décorations de bateaux, de plafonds ou de bâtiments… Il y en a pour tous les goûts. Au hasard de sa visite, le visiteur remarquera de superbes portraits anonymes italiens d’il y a quatre siècles, des esquisses de Le Brun ou d’Ingres mais aussi d’étonnants dessins d’artistes contemporains.

Il pourra également découvrir les œuvres du musée des Beaux-Arts de Nancy, mais s’étonnera du prix de la Fondation Guerlain distribué cette année à des dessins conceptuels semblables – en moins beaux – à nos croquis de fin de maternelle.

Le Salon en est à sa 23ème édition. L’idée avait été lancée par plusieurs marchands désireux de donner une impulsion au marché du dessin. Une bonne occasion de découvrir des œuvres que l’on a peu l’habitude de voir.

De son côté, le musée municipal Cognacq-Jay expose dans son bel hôtel du Marais des dizaines de dessins du spécialiste François-André Vincent (1746-1816), portraitiste talentueux et relativement méconnu. A voir jusqu’au 29 juin.

Visuel : Charles Le Brun (1619-1690) Étude d’homme portant une figure Sanguine avec des rehauts de craie blanche, 286 x 218 mm.

Facebook Twitter Email Imprimer

Abonnez-vous Abonnement Faire un don

Articles liés

Inscription à la newsletter

Ne manquez aucun article de Politique Magazine !

Recevez un numéro gratuit

Vous souhaitez découvrir la version papier de Politique Magazine ?

Cliquez sur le bouton ci-dessous et recevez un numéro gratuit !