Tribunes
Fatalité républicaine
L’illusion de la gloire personnelle est le grand ressort du régime républicain, tel qu’il fonctionne en France depuis plus de deux siècles.
Tribunes
L’illusion de la gloire personnelle est le grand ressort du régime républicain, tel qu’il fonctionne en France depuis plus de deux siècles.
Civilisation
L’Église catholique en Allemagne s’est engagée sur un chemin qui paraît moins synodal que schismatique. Le Vatican, un peu dépassé par les événements, essaie de faire comprendre que « synodal » signifie en fait « comme le veut le pape François » mais a du mal à rétablir l’ordre.
Civilisation
À travers la manière dont le diocèse de Munich et Benoît XVI sont accusés, on retrouve les éléments de langage du rapport Sauvé et la même volonté de réformer l’Église.
Monde
La nouvelle coalition au pouvoir a un programme sociétal détaillé qui laisse rêveur. Indépendamment de ses propositions, il révèle surtout à quel point l’Allemagne entend accélérer l’avènement d’un fédéralisme européen dont la France a tout à craindre : c’est une Europe allemande qui est en train de se renforcer.
Monde
Il est loin d’être certain que l’Allemagne et la France soient d’accord pour promouvoir une défense européenne, même en paroles. Il existe un fossé béant dans le domaine politique et stratégique entre les deux pays. D’une part la France...
France
Ni guelfes, ni gibelins en politique extérieure, ni girondins, ni jacobins en politique intérieure : telle est, depuis la révolution capétienne, la politique naturelle de la France. Or, en 2017, nous sommes bel et bien embourbés dans l’impossible combinaison d’un néo-jacobinisme européen suicidaire et d’une régionalisation contrefaite et dénaturée, ces bas-fonds où patauge le macronisme institutionnel. Mais le salut nous viendra-t-il des îles
Civilisation
C'est un livre qui réécrit l’histoire en vrai et, en particulier, l’histoire contemporaine. L’auteur utilise les sources les plus variées pour expliquer les évènements dans lesquels l’Allemagne s’est trouvée jetée.
Monde
Personne, sauf quelques rares esprits perspicaces, n’avait imaginé ce qui se passe en Allemagne. Le président français parle, comme à l’école, d’une Europe qui n’est déjà plus la même.
Editoriaux
L’homme qui est à la tête de la France, n’aime pas son pays. Au mieux, il fait semblant. Pour lui, la France est une nation dépassée. L’Europe seule compte dans son esprit. Il ne cesse de le dire. « Je suis venu vous parler d’Europe, a-t-il déclaré à la Sorbonne. Encore, diront certains. Ils devront s’habituer parce que je continuerai. Et parce que notre combat est bien là, c’est notre histoire, notre identité, notre horizon, ce qui nous protège et ce qui nous donne un avenir. »