C’est à pleurer. Pleurer d’émotion, de grâce, de douce vérité. Florence Cotte témoigne comme seules peuvent témoigner des mamans.

Notre ami le Père Jean-François Thomas, jésuite de son état, mais qui a la foi catholique comme tous les vrais jésuites des temps illustres dont il se recommande, publie régulièrement des écrits spirituels de haute qualité, spirituelle et littéraire.

Lire ce livre est un crève-cœur pour qui s’intéresse à l’histoire européenne. Tant d’occasions manquées et, pourtant, tant de génies politiques.

En 1952, François Mauriac recevait le prix Nobel en raison de « la profonde imprégnation spirituelle et l’intensité artistique avec laquelle ses romans ont pénétré le drame de la vie humaine. »

Qui, lycéen, étudiant ou bien sûr homme politique, ne prétend pas avoir lu Tocqueville ?

Paru en 2021, ce vigoureux et alerte essai est réédité en poche. Il traite du wokisme, de cette folie qui consiste à affirmer la race pour ne pas être raciste, l’identité pour mieux la nier, les différences pour mieux les abolir et la nécessité du débat pour mieux contraindre au silence.

L̕homme intégral ou une méthode complète pour redevenir des hommes expose et donne avec pragmatisme la clé d’un épanouissement essentiel pour une restructuration masculine réussie.

Le mythe au risque du fantasme.

Élisabeth Segard, après avoir exploré les Invalides, s’est pris de passion pour la médecine militaire (c’est bien sûr Louis XIV qui crée en 1708 le Service de santé aux armées), domaine peu connu mais en fait si riche de savoirs, de savants et d’inventeurs qu’il a largement débordé dans la médecine civile.

Gustave Roussy soignait les Poilus revenus traumatisés du front avec des chocs électriques. Il les considérait comme des simulateurs et des déserteurs. On est pétrifié par ses méthodes, ses jugements, son acharnement. Et peut-être son exemple est-il utile à méditer alors que les médecins prétendent être capables de diriger notre pays

L’année 2023 du Pèlerinage de Chartres a été un succès. Dans le sens le plus fort du terme, ce pèlerinage traduit une véritable dynamique ecclésiale. Malgré un climat pontifical réputé peu favorable au traditionalisme, le Pèlerinage de Chartres, né en 1982, a paradoxalement connu une progression au cours de ces dix dernières années. Cela mérite réflexion.

« Un si long oubli ». Tel pourrait être le sous-titre du rapport Cavalin. L’affaire, en effet, est caractérisée d’une façon très symptomatique par l’oubli dans laquelle elle était jusqu’au témoignage percutant de Michèle-France Pesneau. Tangi Cavalin aborde ce sujet dans la dernière partie de son livre. Chose étrange, l’amnésie semble avoir enveloppé jusqu’aux principaux concernés, à la faveur de ce qui se passait dans l’Église sous le pontificat de Jean-Paul II. L’Arche de Vanier et les frères de Saint-Jean représentaient des pôles de catholicité assumée et leurs fondateurs des parangons de sainteté. Une réputation qui a tout éclipsé.