Bernard Fall, Autrichien naturalisé Français, engagé dans la Résistance à 16 ans, en 1942, puis dans l’armée régulière jusqu’en 1946, part étudier aux États-Unis en 1951 et s’envole pour l’Indochine en 1952, où il accompagne les troupes françaises.

Un livre qui est un témoignage contre la dictature de toute pensée unique, d’une grande force et d’une puissante émotion, donc extrêmement utile, pratiquement utile dans les circonstances actuelles.

La littérature est un jouet extraordinaire, mais tout le monde ne sait pas s’en servir. Beaucoup s’évertuent, s’essoufflent et meurent étouffés, la gorge obstruée de mots trop gros pour eux. Leurs cadavres encombrent les étals des libraires, sur un lit de réclames qui les empêche de sentir mauvais. Passons. Allons plutôt nous amuser avec deux enchanteurs dégourdis. L’un adore faire le grand soleil et la course en sac, l’autre, secouer les marionnettes. Commençons par le second, ce qui nous permettra immanquablement de finir par le premier.

De François-René de Chateaubriand, adaptation et interprétation Hervé Briaux.

D’après l’œuvre d’Albert Camus. Mise en scène de Géraud Bénéch. Avec Stanislas de la Tousche.

Philip K. Dick, à qui l’on demandait un jour de définir le genre littéraire dont il s’était fait un des maîtres incontestés, disait : « Dans la science-fiction, l’auteur étend son pouvoir créateur bien au delà des personnages, jusqu’à l’univers lui-même : il le conçoit exactement de la même façon qu’il conçoit chacun de ses personnages, il le crée, même s’il y introduit parfois certains éléments venus du monde réel ».

Johann Naldi, marchand d’art qui aime découvrir des toiles exceptionnelles, pense avoir prouvé que Walter Sickert, peintre anglais mort en 1942, était Jack l’Éventreur.

Selon Michel Onfray, le Christ n’a pas existé (et Jean le Baptiste non plus, ni la ville de Nazareth).

Vient de paraître sous la direction d’Olivier Dard et Didier Musiedlak un ouvrage collectif sur la réception politique de la marche sur Rome, passionnant par les perspectives qu’il ouvre.

Cet ouvrage, bien que publié voici bientôt cinq ans, est toujours à recommander, en dépit des applications et des avancées techniques rapides et spectaculaires de son sujet, l’intelligence artificielle.

Notre ami René Irolla, pied-noir retiré en Corse depuis l’indépendance de l’Algérie, témoigne sur ses vieux jours de ce que fut réellement l’Algérie française. Il publie un échange de lettres avec son frère aîné qui, lui, prit le parti opposé.

La guerre entre la Russie et l’Ukraine, si tel est le mot approprié, et non plus celui d’opération militaire spéciale, a jeté un trouble profond dans nos esprits.