Finis les retards, terminés les wagons impropres, l’agressivité entre les usagers, l’arrogance de certains contrôleurs, la présence permanente des quêteurs…
Pour constater la situation de nos gares insalubres, il suffit de prendre l’Eurostar à la Gare du Nord et arriver à la Gare londonienne, qui est un modèle d’accueil et dotée d’une architecture plaisante. On n’ose pas imaginer la réaction des Britanniques quand ils prennent ce trajet en sens contraire.

Découverte du transport et du covoiturage, convivialité soudaine et conversations avec des personnes que l’on découvre, participation financière réduite au regard des tarifs fluctuants de la SNCF parfois incompréhensibles et, dans la plupart des cas, la dépose est porte à porte. Développement des lignes des autocars qui relient des lieux abandonnés ou difficiles d’accès.

Quant au transport aérien, découverte d’autres compagnies, avec un accueil de qualité et des frais de transport bien moindres.

Enfin, grande espérance : Martinez, le patron de la CGT, avec son compère le PDG de la SNCF, l’inénarrable Pépy, tous deux de concert, relégués dans une gare de marchandises désaffectée.