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Plus glamour que jamais, les Divalala reviennent sur la scène du Palais des Glaces avec C’est lalamour !
A capella sous la direction musicale de Raphaël Callandreau, habillées par Marie- Caroline Béhue, le trio de charme revisite de façon très originale la variété française. Dans une envolée polyphonique qui s’autorise toutes les audaces musicales, elles nous interprètent tous les tubes intemporels qui ont bercé les sixties, les seventies et même les années 80 : Johnny Haliday, Sardou, Hervé Vilar, Nougaro, Cora Vaucaire, Michel Legrand… Costumes, perruques et paillettes contribuent à ce grain de folie qui leur va si bien. Pour chaque chanson, un décor différent nous est présenté où s’invitent l’humour et la dérision. Sur une mise en scène de Freddy Viau, les trois artistes signent une prestation impressionnante par son inventivité et sa performance. Une belle parenthèse en ces temps moroses, qui réjouit les cœurs.
« C’est lalamour ! » des Divalala avec Angélique Fridblatt, Gabrielle Laurens et Marion Lépine, Dans une mise en scène de Freddy Viau, Mise en lumière : James Groguelin et Eric Schoenzetter, Son : Olivier Coquelin
Palais des Glaces 37 Rue du Fbg du temple 75010 Paris
Réservation : 01 42 02 27 17
Civilisation
« Personne ne peut ignorer l’ampleur de son activité, sa technique virtuose, son coloris d’un raffinement réellement unique, l’ambition de ses compositions » nous dit Laurent Salomé, directeur du musée national des châteaux de Versailles et de Trianon. Et pourtant, Noël Coypel, père d’Antoine Coypel, a été absorbé par Versailles.
Civilisation
Quand Boutang traduit Chesterton, en 1990, l’islam menace : Chesterton l’avait pressenti en 1914, sa longue fréquentation des élites progressistes l’ayant convaincu qu’elles ne délaissent aucune chimère et ne reculent devant aucune trahison. Boutang en était persuadé aussi. Que dire de leurs lecteurs, aujourd’hui ?
Civilisation
Les amoureux de la génération actuelle, des livres, des grands auteurs, de l’histoire et des idées, qui se prêtent à l’exercice de coucher leurs propres mots dans des romans ou nouvelles, ont en commun le goût et le désir de nous éveiller à la grandeur de la France telle qu’elle a pu les faire vibrer.
Civilisation
Nous voyons souvent mal ce que nous avons sous les yeux ; les artistes, eux, ne s’arrêtent pas seulement à le regarder, ils passent aussitôt à la création, se mettant à imaginer ce qu’ils voient, du même mouvement qu’ils font voir ce qu’ils imaginent.
