L’avenir est bouché. En raison même des institutions qui nous emprisonnent.
Elles sont toutes faussées.

Ce livre se veut un essai. L’essai mérite de devenir un traité : une démonstration par les faits et par la simple logique des idées que la République, loin d’être la gloire de la France comme le prétend la thèse officielle, est la cause proportionnée de tous ses déboires, de sa déroute spirituelle, de sa décadence politique, même de son appauvrissement économique, relatif bien sûr par rapport aux autres, comme de sa crise sociale permanente.

Voilà ce qui s’appelle une synthèse ! Notre ami Philippe Pichot-Bravard publie sous forme d’essai une étude sur la notion de droit naturel dans l’histoire, depuis l’antiquité jusqu’à notre dernière modernité. Étude substantielle, quoique nécessairement résumée pour la rendre accessible, digeste et publiable pour le grand public.

Après SaccageParis, c’est au niveau de la France qu’il faut dénoncer les méfaits d’une gouvernance aberrante.

Voilà un très beau livre et qui traite d’un sujet qui relève en lui-même de l’excellence. L’excellence y ruisselle à pleine page et, pourtant, le rare y reste le rare, le sublime toujours sublime.

Politique intérieure, politique extérieure, à force de s’imaginer au-dessus de tout et de tous, Macron est finalement lui-même dédaigné. Il aura fini de casser l’image de la France.

Ce livre est une mine. Vous cherchez, vous trouvez. Vous pénétrez dans les profondeurs de l’économie et de la sociologie de l’immigration en France et vous remontez avec des éléments clairs, précis, dégagés de leur gangue, la plupart chiffrés, mis en tableaux comparatifs.

L’illusion de la gloire personnelle est le grand ressort du régime républicain, tel qu’il fonctionne en France depuis plus de deux siècles.

Le curé des apparitions.

Notre ami Mathyeu Le Bal tient la galerie Les montparnos, 5 rue Stanislas dans le VIe arrondissement de Paris, galerie d’art contemporain, principalement de peintures de ce qui fut appelé l’École de Paris.

Quelques paroles patriotiques prononcées devant des militaires et sur un porte-avions ne sont que de circonstance. La politique macronienne a toujours la même caractéristique : la trahison.

L’homme croit en lui-même ; il sera bientôt le dernier à y croire.