Recevez la lettre mensuelle de Politique Magazine

Fermer
Facebook Twitter Youtube

Article consultable sur https://politiquemagazine.fr

Mathieu Laine : La crise actuelle n’est pas celle du libéralisme 1/3

Pour Mathieu Laine, la pensée libérale est trop souvent caricaturée. Mal comprise, on l’accuse d’avoir conduit à la crise actuelle. Selon l’auteur du Dictionnaire du libéralisme aux éditions Larousse, les politiques suivies ne sont pourtant en rien libérales et encore moins « ultra-libérales »…

Dictionnaire du libéralisme aux Editions Larousse Présent

Abonnez-vous directement sur le site : https://politiquemagazine.fr/

Facebook Twitter Email Imprimer

Mathieu Laine : La crise actuelle n’est pas celle du libéralisme 1/3

Facebook Twitter Email Imprimer

Abonnez-vous Abonnement Faire un don

Articles liés

Tribunes

Comment en finir ?

Comment en finir ?

Par Hilaire de Crémiers

L’homme aime donner l’apparence d’être le maître du monde. Alors qu’il est obligé de se battre pour l’être chez lui, tant l’esprit gauchiste, ce qu’il est convenu d’appeler le « wokisme », imprègne, et depuis de longues années, la société américaine, dans les strates de l’État profond, dans les campus universitaires, dans un certain nombre d’États démocrates comme la Californie, dans les plus grandes villes comme New York ou même Washington.

France

Laquelle coûte le plus cher : la monarchie anglaise ou la République française ?

Laquelle coûte le plus cher : la monarchie anglaise ou la République française ?

Par Yves-Marie Adeline

Un vain peuple a coutume de croire qu’un roi coûterait cher à la France, comme si la présidence de la République ne coûtait rien, et comme si son président n’avait pas une liste civile (la Sovereign Grant, outre-Manche)… Même en Angleterre, où subsistent 17% de républicains – nous avons le même chiffre de royalistes en France, ce qui n’est pas encourageant –, ceux-là croient que leur roi leur coûte cher.

Tribunes

La mort civile réinventée

La mort civile réinventée

Par Jean Paravisin Marchi d’Ambiegna

Une partie de l’opinion, agitée par la passion de l’avilissement, s’emploie aujourd’hui à rétablir, sous des formes plus sournoises, l’ancienne mort civile. Il ne suffit plus que l’on critique un homme public, ni même que l’on juge ses actes : il faut désormais l’effacer, le nier comme sujet, interdire que l’on parle de lui autrement qu’en termes de mépris. L’on ne se contente plus de débattre : l’on exige l’ostracisme.