France
Journal d’un prisonnier EN campagne
Saint Nicolas Sarkozy. « Je suis un bagarreur. Je ne peux le cacher. Je ne garde rien, ou pas grand-chose, par-devers moi. Cela peut souvent me conduire à surréagir, à mener des combats inutiles, parfois même à blesser inutilement mes interlocuteurs. Dans le même temps mais à l’inverse, cela expurge de mon esprit les mauvais sentiments. Ainsi, je suis incapable d’éprouver une haine durable à l’endroit de quiconque. Je ne garde rancune à personne. Mes amis m’ont souvent reproché de pardonner trop vite ou d’oublier trop facilement les offenses et les trahisons. »