L’anti-racisme est intouchable. Dans le rejet absolu et catégorique de la notion même de race, s’exprime le nouveau racisme. L’idéologie du mélange des cultures et des peuples est une idéologie raciste fondée sur le rejet absolu des races.
Les gauchistes-bobos-antiracistes ont réussi à occulter complètement l’originalité des races. Or elle fait qu’un peuple est un peuple. Des personnes qui partagent la même langue, les mêmes mœurs et les mêmes traditions, qui prient le même Dieu et puisent dans les mêmes réminiscences inconscientes forgées par les siècles ; un peuple uni non pas par des valeurs abstraites mais par une même façon de se tenir dans les espaces publiques ayant les mêmes civilités, les mêmes reflexes, la même vision du monde, et qui se dresse comme un seul homme contre ceux qui veulent l’opprimer.
Il faut bien reconnaître que défendre l’originalité des races est impossible aujourd’hui. Mais comment rapprocher les peuples si on ne respecte pas leur originalité ? En vérité, je vous le dis, c’est la haine idéologique des races qu’il faut considérer comme une nouvelle forme de racisme. Le racisme multiculturel est un racisme inversé. Il ne vise plus comme l’ancien à discriminer une race par rapport à une autre, mais à discriminer toutes les races afin d’établir une société où toutes les races seront mélangées et diluées dans la nouvelle société métissées. L’antiraciste, comme d’ailleurs le raciste, ne se soucie pas du tout du combat contre les discriminations raciales ; il se soucie uniquement de la non-discrimination des immigrants et des immigrés. De ce fait, il encourage à une nouvelle forme de racisme, à savoir la discrimination des autochtones, des blancs, des judéo-chrétiens.
Les nazis ont décrété que toutes les races sont inférieures à la sienne. Ils voulaient la domination de leur race sur toutes les autres races. Les nouveaux fascistes de Bruxelles décrètent que l’immigré est supérieur à l’autochtone, qu’il apporte une richesse (sous-entendu que l’autochtone n’en a pas) et qu’il faut s’ouvrir à lui (sous-entendu que l’autochtone a l’esprit fermé), l’accueillir, lui donner une chance car il est victime de l’injustice universelle. Hitler a défini la race allemande comme supérieure aux autres : le nouvel ordre définit la race, toute race, comme inférieure au métissage ; les technocrates de Bruxelles veulent l’effacement des races, c’est-à-dire la domination absolue et totalitaire du multiculturalisme et du métissage.
Sont qualifiés de xénophobes et d’extrême droite ceux qui critiquent l’immigration massive et incontrôlée et qui disent qu’elle est voulue et qu’elle est en fait une invasion. Les lois antiracistes sont de la même semence que les lois anti-juives des nazis. Elles font germer des régimes totalitaires. Un système de dénonciation et de persécution est en train de se mettre en place. Il est à craindre qu’il sera de plus en plus performant. In fine le nouveau racisme allié à la biotechnique et à la génétique mondiale risque bien d’être encore plus terrible que l’ancien car non seulement on vise la fusion des races mais aussi l’élimination des maladies et de tout ce que la nature fait imparfaitement.
Derrière le slogan de société ouverte se cache l’intention bien réelle de vouloir détruire les peuples d’Europe afin de créer une société totalement déracinée, individualisée, atomisée, une société d’employeurs et de consommateurs serviles.
La nouvelle race sera métissée. Affranchie du passé et sans peuple, et donc sans originalité, elle remplacera les racines par les réseaux. Elle se donnera corps et âme au progrès et à l’ouverture pour refaire le monde ; elle a éjecté Dieu hors du monde pour se mettre à sa place ; elle prône le changement et croit dur comme fer à la science, à l’égalité et au rationalisme ; elle pense que le progrès passe par la destruction des peuples et des races.
Rapprocher les peuples ? Ce slogan battu et rebattu a perdu tout son sens. En vérité, je vous le dis, c’est la guerre des peuples qu’on prépare, car les peuples ne se laissent pas humiliés éternellement.