A ceux qui pensent que l’UE rapproche les peuples en remplaçant les frontières par le marché unique et la libre circulation des personnes et des biens…
Sous prétexte de faciliter les échanges, l’UE s’ingère dans les affaires internes des Etats, où, par le biais du droit évolutif, elle prend un pouvoir toujours plus considérable. Les potentats de Bruxelles et leurs serviteurs étendent leur politique d’ingérence massive au-delà même de leurs frontières en voulant imposer leurs droits mercantiles à des pays qui ne sont même pas membres, comme par exemple la Suisse.
Elle a conclu des accords bilatéraux avec l’UE et, par la faute des collabos du gouvernement suisse pro-européen et complices des technocrates de Bruxelles, se retrouve maintenant à accepter une humiliante soumission progressive au droit européen.
Dès lors il apparaît de plus en plus clairement aux yeux de ceux qui veulent le voir que le véritable objectif de l’UE n’est pas seulement économique. Je rappelle que les droits fondamentaux de l’Etat sont le droit de battre monnaie, le droit de faire la justice, le droit de faire la guerre et le droit de prélever des impôts.
Tout Etat qui renonce ne serait-ce qu’à un seul de ses droits fondamentaux, n’est plus un Etat souverain. Or c’est précisément à ces droits que l’UE s’attaque, et qu’elle a déjà abolis en partie avec le consentement des Etats concernés, il faut bien le dire.
Le déplacement des peuples constitue un autre pilier de cette politique de destruction. En favorisant une migration massive et durable à l’intérieur comme à l’extérieur de l’Europe, l’UE bafoue le droit de contrôler et de maîtriser l’immigration qui revient à tout Etat souverain. Or les Etats d’Europe membres de l’UE ne sont plus des Etats souverains. La politique de libre-échange multiculturel est dirigée contre la souveraineté et l’indépendance des Etats et des peuples.
Rapprocher le peuple ? C’est le contraire qui se passe. Le nouveau racisme est anti-blanc et multiculturel. L’immigré, celui qui vient d’ailleurs, est adoré par décret parce qu’il apporte sa culture, une autre manière de vivre, et blablabla.
Il s’agit d’asseoir le nouveau pouvoir sur les peuples affaiblis et détruits par une immigration massive que l’on impose de force sous la bannière des prétendus besoins de l’économie et de l’antiracisme qui est le fer de lance de cette guerre contre les peuples.
Rien que de parler de race, rien que de prononcer ce mot, et immédiatement on est traité de raciste, et vilipendé, et conspué, et attaqué en justice par les jacobins du progrès égalitaires et leurs médias aux ordres, ceux même qui prétendent défendre la liberté d’expression.
Dernière exemple en date, Nadine Moreno. Elle a osé dire à la télé que la France est un pays judéo-chrétien de race blanche ! Honte à elle ! Quel blasphème porté à la Sainte chose laïque et multiculturelle ! C’est inadmissible ! Elle est libre, c’est-à-dire réellement dangereuse ! Elle mérite la guillotine ! Les idéologues de la dictature démocratique libérale et révolutionnaire ne tolèrent pas qu’on souille impunément le droit à la liberté d’expression.
Je pense que dorénavant, et de plus en plus, il faut parler d’un nouveau racisme, d’un racisme de gauche-gauchiste, celui qui favorise le métissage et l’effacement des races par tous les moyens. Il cherche la destruction des peuples.
Quoi de plus raciste que de vouloir la fin des races ? Ou du moins la fin de la race blanche, car après tout, n’oublions tout de même pas que l’Afrique restera toujours noire et l’Asie toujours jaune. J’affirme que c’est la race blanche elle-même qui travaille assidument à sa propre disparition.
Cela me semble tout à fait inédit dans l’histoire de l’homme qui, jusqu’ici était marquée par les guerres des peuples et des races contre d’autres peuples et d’autres races.