Tribunes
Ajaccio, Grenoble, Toulouse : quand l’État fait enfin son métier
Il faut rompre avec l’hypocrisie contemporaine et dire les choses telles qu’elles sont. Non pour provoquer, mais pour rétablir une évidence que l’on feint désormais d’ignorer : un État existe pour protéger. Le reste — la morale de plateau, l’émotion ritualisée, l’indignation sélective — n’est que littérature seconde.