France
Triste anniversaire
Il y a vingt ans, Maurice Allais entamait son combat contre la mondialisation et l’Europe fédérale. En 2025, tout lui donne raison.
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Il y a vingt ans, Maurice Allais entamait son combat contre la mondialisation et l’Europe fédérale. En 2025, tout lui donne raison.
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La comédie du budget et les hausses d’impôt qu’elle va entraîner posent clairement le problème du rôle de l’État et du contrôle que les Français, prétendument souverains, peuvent exercer sur lui : pourquoi consentir à un impôt aberrant ? Et comment croire encore que les partis incarnent la volonté populaire ?
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Démission, dissolution, réélection : tout est bloqué, par le jeu des institutions, dévoyées, peut-être, ou au contraire poussées à leurs limites, révélées par la crise. Mais ces blocages ne doivent pas nous détourner de l’espérance.
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Les « patriotes de la diversité » ont la nostalgie des années 80, cette France lumineuse où blacks, blancs et beurs inventaient ensemble une société harmonieuse. Mais ils ne regrettent qu’une chimère : cette France, nous l’avons connue et elle nous a amenés droit à la catastrophe diversitaire actuelle.
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Voilà une fois de plus le peuple souverain forcé de contempler, impuissant et enragé, le spectacle de ses élus et de ses représentants discutant entre eux comme si de rien n’était et affirmant avec des sourires de bons apôtres qu’ils ont bien reçu le message des masses, bien compris que le peuple voulait que rien ne change.
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La dette publique est une drogue à laquelle nos gouvernants sont désespérément attachés. Prisonniers de dogmes keynésiens, entravés par l’euro et l’Union européenne, persuadés que n’importe quel problème social se règle à coups de milliards et aveugles sur les dépenses nuisibles, ils ne savent pas décrocher.
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Les LR sont si « accrochés » au pouvoir, si persuadés d’être dignes de l’exercer, et si certains d’y être bientôt appelés qu’ils ont accepté toutes les compromissions possibles, ruinant toutes leurs chances.
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Le lamentable épisode politique en cours conduit à réfléchir sur ses causes profondes, au-delà de l’impéritie et de la médiocrité, par ailleurs évidentes, du gros du personnel politique.
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Ce n’est certes pas une révélation d’affirmer que, dans notre pays, depuis le milieu (au moins) du XXe siècle, les idées de gauche inspirent souverainement nos pouvoirs publics, nos institutions, et nos « élites », à commencer par notre corps enseignant (du maître d’école au professeur d’université), notre intelligentsia, notre classe médiatique, et notre société, conditionnée par eux tous.
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Un vain peuple a coutume de croire qu’un roi coûterait cher à la France, comme si la présidence de la République ne coûtait rien, et comme si son président n’avait pas une liste civile (la Sovereign Grant, outre-Manche)… Même en Angleterre, où subsistent 17% de républicains – nous avons le même chiffre de royalistes en France, ce qui n’est pas encourageant –, ceux-là croient que leur roi leur coûte cher.
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Cet homme appartient à une catégorie de vibrions dont on chercherait vainement un équivalent sous d’autres cieux. Inclassable (pour le meilleur comme pour le pire), il a accompli un parcours politique déconcertant, quoique en accord avec ses valeurs morales.
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La raison pour laquelle la France ne parvient pas à sortir de la spirale de l’endettement est d’une simplicité biblique : lorsque plus de 57 % du PIB est consacré à la dépense publique (que l’on pourrait définir, de manière non « rigoureuse » mais parlante comme tout argent qui passe par les mains d’une administration publique avant, éventuellement, d’arriver dans la poche des particuliers ou d’être dépensé pour son propre compte par ladite administration), il est inévitable que tout le monde en croque.