Ce livre porte sur un sujet majeur, mais bien trop souvent négligé des économistes : la famille.

François Rivière, qui aime la littérature anglaise et la bande dessinée belge, a été un enfant rêveur et gravement malade, né en 1949, élevé en Charente, qui est entré en religion bédéiste avec Le Mystère de la Grande Pyramide, aventure de Blake et Mortimer : il n’en est plus jamais sorti.

Pour célébrer ses 50 années d’existence, la maison d’édition légendaire Les Humanoïdes Associés a eu la bonne idée de rééditer sous forme d’intégrales les œuvres les plus emblématiques d’auteurs phares de son catalogue.

Comment ne pas revenir, une fois encore, à la source grecque ?

Rédacteur en chef de Livr’Arbitres et chroniqueur à Éléments, Xavier Eman (qui sait, également, se montrer excellent écrivain) nous fait pénétrer, sous les auspices de l’Observatoire du journalisme, dans l’antre discret et feutré des écoles de journalisme hexagonales.

Le « héros au sac à dos » raconte son histoire. Toute simple. Un jeune homme, la bonne vingtaine dépassée, qui a philosophé sagement, théorisé le commerce et l’économie, parce qu’il faut bien le faire, mais qui cherche autre chose.

Voilà un livre pour ceux qui aiment l’histoire comme une enquête scientifique, plutôt comme une série d’enquêtes scientifiques.

Après le succès de Nos rois de France, Franck Ferrand nous présente en collaboration avec Pierre-Louis Lensel et Anne-Louise Sautreuil, Nos reines de France qui restitue quinze portraits de reines.

Avec Le censeur, Alexandre Tremblay nous immerge dans un Canada en pleine dictature woke, s’appuyant sur une bureaucratie kaflkaïenne. Autant dire que ce conte orwellien ne relève presque pas de la science-fiction, et s’apparente plutôt à un futur proche, trop proche.

Naguère encore nous croyions qu’on pouvait discuter de tout sauf de certaines règles si évidemment universelles, si communément partagées, qu’elles étaient naturellement admises comme cadre de réflexion : le mariage traditionnel, par exemple.

En 1603, l’Inca Garcilaso de la Vega, « natif de Cuzco et capitaine de sa Majesté », publia ses Commentaires royaux sur le Pérou des Incas, traduit en français par Jean Baudouin, de l’Académie française, en 1633.

Notre ami Yves Morel a publié – en tout cas à ce jour un premier volume – une sorte de petite encyclopédie des contre-révolutionnaires français.