Même si le deuxième quinquennat de Macron est riche en atteintes aux libertés, le pli était pris depuis longtemps. Les députés ne laissent pas de vouloir contraindre les citoyens par tous les moyens possibles de ne pas s’exprimer, allant même jusqu’à imaginer que l’administration déciderait souverainement de ce qui est ou non dicible. Aucune liberté n’est à l’abri de cette rage de contrôle.