Jusqu’à quand ? Jusqu’à quand allons-nous laisser l’oligarchie dégénérée qui nous dirige saccager l’espace public ? Jusqu’à quand allons-nous nous laisser insulter, humilier et dominer par cette clique de pervers narcissiques ? Jusqu’à quand la fumisterie de tous ces possédés va-t-elle envahir nos existences ? Leur perversité n’a plus aucune limite : ils viennent d’installer place Vendôme la chose que vous voyez ci-dessus en photo. Il est rare que j’affiche ici des choses laides, mais j’y suis exceptionnellement contraint pour les besoin de la démonstration.
Or, on apprend dans le torchon Libération (rubrique « sexe et genre« ) que ce ridicule objet gonflable, qui défigure la plus belle place de Paris, est en réalité la reproduction d’un gadget sexuel dont je tairai le nom, mais pas l’usage : les gens qui s’en servent se le fourrent dans le fondement. Venant de « l’artiste » en question, ce n’est pas très étonnant : il est essentiellement connu pour ses crottes géantes (ICI) et ses fabriques d’étrons (ICI). En d’autres termes, nous en sommes là : nos maîtres appellent « art » le fait de saloper les belles choses avec des immondices (nous le savions déjà) et, non contents de détruire la France, ils nous adressent en le faisant un message parfaitement clair : Fuck you !
Voilà le message de l’élite répugnante qui nous écrase de son mépris. Ces gens relèvent de la clinique psychiatrique… mais ils nous dirigent. Non seulement, leur trou-du-cul est le centre de leur vie, mais ils voudraient en faire le centre du monde. Réalise-t-on de quoi nous sommes en train de parler ? A Paris, sur la place qui célèbre les victoires de Napoléon, en face du Ministère de la Justice, les gens qui nous dirigent ont installé une reproduction géante de l’objet qu’ils s’introduisent dans le derrière pour passer le temps. Où sommes-nous ? Je n’ose dire en Enfer, mais cela commence à y ressembler méchamment (lisez Dante).
Et si vous avez l’audace de vous insurger contre cette saloperie, ces tarés vous assureront, avec leur face de faux derches, qu’il s’agit d’un sapin de Noël « pour les enfants », et vous accuseront en ricanant d’être un obsédé sexuel. A propos d’enfants, justement, il suffit de se renseigner sur les autres œuvres du scatologue qui a produit cette chose pour se faire une idée du sort qu’il leur réserve (ICI et LA).
Honnêtement, mes amis, pour se défendre, il va falloir songer à autre chose qu’un bulletin de vote.
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