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Dans l’Aube, un collectif de citoyens contre les migrants

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Un collectif de citoyens s’est créé à Arcis-sur-Aube en réaction à l’imposition par l’état de migrants, issus de la jungle de Calais, dans notre commune et en soutien à l’action de notre Maire et du CARED contre cette implantation décidée unilatéralement sans aucune concertation avec la municipalité et les habitants.

Ce déplacement à Arcis-sur-Aube de migrants, issus de la jungle de Calais, compromets gravement la sécurité des habitants. A Calais : les migrants ont causé des dégâts considérables et attaqués camions et force de l’Ordre. Une interprète de France 5 a été récemment victime d’un viol. En Allemagne, ils ont violé de nombreuses femmes.

Le maire socialiste de Garmisch-Partenkirchen en Allemagne, a demandé de l’aide à l’État de Bavière pour gérer une « situation explosive ». La presse locale a rapporté des combats, des agressions contre les biens et les personnes, par les migrants, ainsi que des agressions sexuelles, notamment au centre. Les plaintes des riverains se multiplient, créée par une recrudescence de criminalité de la part de migrants.

Malheureusement, de très nombreux autres exemples pourraient être cités. Le Collectif Citoyens d’Arcis sur Aube demande expressément à la Préfète de l’Aube, dont le premier devoir d’assurer la sécurité des Aubois, d’appliquer le principe de précaution, préconisé depuis toujours par le CARED en matière d’immigration, en renonçant à accueillir dans l’Aube et notamment à Arcis sur Aube des migrants, issus de la jungle de Calais.

Voici la lettre ouverte que le CARED a adressé à à Isabelle Dilhac, préfète de l’Aube.

Madame la Préfète,

Je me permets de vous faire part de l’indignation des 375 membres du CARED, partagée certainement par la grande majorité des Aubois, suite à votre décision, prise sans concertation ni consultation des habitants, de faire venir des clandestins, issus de la jungle du Calais, dans notre département.

Ces clandestins ne sont pas, pour leur grande majorité, des personnes pouvant relever du statut de réfugié de guerre. Ils ont donc vocation à être renvoyés chez eux, en application directe de la loi s’appliquant dans notre état de droit.

Cette décision est d’autant plus choquante que les clandestins de Calais se sont révélés particulièrement brutaux et irrespectueux des populations et des lieux alentours.

Nous vous serions reconnaissants de bien vouloir revenir sur cette décision, afin de maintenir la cohésion sociale à l’intérieur de notre département.

Je vous prie d’agréer, Madame la Préfète, l’expression de ma considération respectueuse.

Jean-Louis Chaton, président du CARED

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