Pigeons, Tondus, Bonnets rouges, les mouvements de contestation font florès. Certains dépassent même la simple opposition à la politique fiscale et expriment un malaise plus profond. La marge de manoeuvre d’un gouvernement de plus en en plus discrédité en est d’autant plus réduite.
Qui sont les premières victimes de cette « fiscalomanie » gouvernementale ? Les familles et les entreprises, autrement dit, les forces vives de la nation, toujours les premières à être taxées par un Etat qui refuse de diminuer la dépense publique en réduisant le nombre de fonctionnaires.
Dans un dossier de plus de 16 pages, découvrez pourquoi le mouvement de « ras-le-bol fiscal » remet en cause l’efficience du mécanisme de l’élection présidentielle : quand la démocratie aboutit à un résultat aussi contraire à l’intérêt du peuple, le peuple est en droit de remettre en cause son principe même.