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Le grand avantage de notre époque est le large éventail de combats à mener qu’elle nous propose, depuis la dénonciation d’une banque, BNP Paribas, capable de simultanément quitter un quartier gangrené par l’immigration et son cortège de maux sociaux et de supprimer arbitrairement les comptes des militants identitaires qui dénoncent la présence chez nous d’un islam conquérant (petit combat mais je le livre à votre méditation) jusqu’à la défense de l’être humain en passe d’être éthiquement esclavagisé par la GPA (immense combat).
Aujourd’hui, être de droite c’est être un reproche vivant dressé devant ceux qui nous gouvernent, en France, dans l’Union Européenne et dans les organismes mondialistes – et ces gouvernants s’acharnent contre les gens de droite, en bloc et en personne, et d’autant plus qu’ils sentent la révolte gronder alors que la ruine de notre civilisation n’est pas encore acquise, malgré tous leurs efforts. Haro sur les mouvements de droite et leurs militants, quoi que droite puisse vouloir dire et si peu d’affinités nous sentions-nous avec Javier Milei, Donald Trump, Viktor Orban ou Alice Weidel (présidente de l’AfD).
Être de droite, c’est aussi exiger que nos libertés soient préservées, même les plus absurdes, pour le principe même qu’un État qui s’insinue sans cesse dans nos vies sous prétexte d’assurer la santé morale et physique du troupeau est une notion glaçante, même si rien ne peut étonner de la part d’une République qui a toujours considéré qu’elle avait des ennemis intérieurs dont elle ne cesse de renouveler les noms, catholiques hier, fumeurs aujourd’hui, internautes demain.
Évidemment, être de droite c’est avoir l’habitude de ne pas gagner à court et moyen terme… Mais c’est aussi avoir la foi chevillée au cœur et il nous a paru opportun, important, et même réjouissant de donner la parole à une femme politique qui a pris l’habitude de ne pas baisser les bras et qui arrive à mener les bons combats et même à remporter certaines victoires tactiques qui sont autant de jalons pour l’avenir.
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