Civilisation

Vatican II : une histoire qui dure toujours
La forte polarisation du pontificat de François a remis sur le tapis la question du Concile, non plus en tant qu’enseignement, mais en tant que praxis radicale.
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Ce traité extrêmement clair est d’une parfaite pédagogie. Rien de tel pour appréhender la foi catholique.
Cet exposé systématique qui recense et définit toutes les erreurs et hérésies qui ont ravagé l’Église et qui la contaminent aujourd’hui, est la meilleure manière par leur réfutation doctrinale argumentée d’éclairer positivement les vérités de foi intangibles. Ce livre est ainsi un véritable dictionnaire de tout ce que la perversité humaine – et diabolique – a cherché à proposer aux âmes pour les détourner du salut. En conséquence les voies de la vie éternelle sont ainsi mieux balisées Et la conscience humaine mieux éclairée. Opportet haereses esse, dit l’Apôtre. Une telle récapitulation historique permet de mieux saisir cette longue lignée d’erreurs qui, d’apparences quelque fois contradictoires, vont toutes dans le même sens du refus de la révélation divine pour y substituer des raisonnements humains, de gnoses plus ou moins spirituelles, des arguments de complaisance pour l’orgueil et la sensualité.
Notre époque moderne est marquée par un modernisme et un progressisme qui sévissent dans l’Église de manière dramatique et qui sont, comme disait saint Pie X, les égouts collecteurs de toutes les hérésies. Le Syllabus de Pie IX, le serment anti-moderniste de Pie X, les derniers textes des cardinaux et évêques fidèles à la foi et qui s’opposent à l’apostasie d’aujourd’hui, montrent suffisamment la permanence de la saine doctrine et attestent que les portes de l’Enfer n’ont pas prévalu contre l’Église. À noter, comme il convient, la part capitale réservée à la Vierge Marie dans l’œuvre du salut et fort bien exposée dans cet ouvrage.
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