Chaque jour, dans l’hexagone, des individus ou des groupes d’origine immigrée se rendent coupables de violences anti-françaises caractérisées. Actes isolés ou mouvement de fond ?
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Irène n’ose plus s’habiller et se maquiller comme elle le souhaite. Un jour qu’elle se rendait au travail, des « racailles » d’origine maghrébine l’ont insulté dans le RER ; une autre fois, c’est un SDF africain qui la poussait dans la rue et lui intimait l’ordre de changer de trottoir car « ici c’est [son] territoire ». Quelques jours après avoir recueilli ce témoignage, une dépêche révélait qu’une belge de 24 ans avait échappé à une tentative de viol par un Africain et avait reçu des coups de couteaux. Motif invoqué par l’agresseur ? La jeune femme portait une jupe. Toujours cette année, à Créteil, une jeune Blanche de 18 ans est violée et torturée pendant deux heures dans un parc par trois mineurs étrangers. Ces derniers sont arrêtés et déclarent au juge que « toutes les françaises sont des putes ».
Dans son livre La France Orange mécanique paru en janvier 2013, Laurent Obertone commençait son enquête par le récit terrifiant d’un « fait divers » : l’agression de Pauline par un certain Zakaria. Le choix était volontaire. L’auteur démontrait, chiffres à l’appui, que les agressions gratuites avaient explosé ces quarante dernières années, et faisait implicitement le lien avec l’immigration. L’importante surreprésentation de la population extra-européenne dans les avis de recherche publiés par la police pour agressions graves semble corroborer la thèse (www.avisderecherches.interieur.gouv.fr).
Mais établir un bilan chiffré des agressions contre la population autochtone n’est pas aisé. En effet, les services de l’état n’ont officiellement pas le droit d’établir des listes par origine ethnique et religieuse. Et l’identité des agresseurs comme les procès sont rarement présentés dans la grande presse, qui aurait reçu des instructions discrètes par le ministère de l’Intérieur il y a plusieurs années. Enfin, la disproportion dans le traitement des affaires brouille les pistes. Ainsi, le 20 mars 2012, une journée d’hommages officiels était organisée par les représentants de la nation aux victimes du tueur islamiste Mohamed Merah. La veille, Marion, une jeune nantaise de 14 ans, avait été tuée de 38 coups de couteaux par un réfugié angolais ; l’évènement ne suscita aucune réaction politique.
L’affrontement est permanent.
De l’insulte jusqu’au meurtre
Pour avoir une idée de l’ampleur du phénomène, il faut se reporter aux innombrables faits divers particulièrement sordides et scandaleux rapportés dans la presse régionale et locale. Aussi les livres et les sites qui en font état sont-ils facilement portés à la polémique, et ne peuvent être cités qu’avec prudence. Un site délibérément identitaire, très connu dans la réacosphère, et qui ne fait pas dans la nuance, le site Fdesouche.com qui publie certains de ces articles : agressions anti-françaises et incendies de commerces traditionnels par des « jeunes de cités » sont quotidiens et concernent de plus en plus les communes moyennes, voire les villages.
Est-il encore possible de parler d’actes isolés, ou sommes-nous en présence d’un phénomène de plus grande ampleur ? « Il s’agit d’une conquête de territoire », répond calmement Marie-Neige Sardin. Pendant les trente-quatre ans passés comme libraire du Bourget, près de Paris, elle dit avoir été victime d’une trentaine d’agressions commises exclusivement par des personnes extra-européennes, dont un viol en réunion et une tentative d’égorgement. Elle a pu confondre un agresseur en le blessant, grâce à l’analyse ADN de son sang. « Au Bourget, les choses ont basculé il y a une quinzaine d’années, quand il y a eu un fort déséquilibre dans la population », explique Marie-Neige Sardin. « Les peuples immigrés s’installent ici car on les laisse s’organiser en communautés. » Elle a fini par partir, et aujourd’hui, la population blanche a presque totalement disparu du Bourget.
L’Agrif, l’Alliance général contre le racisme et pour le respect de l’identité française et chrétienne, fondée par Bernard Anthony, a créé sur la page d’accueil de son site une rubrique intitulée « Signaler une agression », qui ne cesse d’être alimentée.
Faut-il aussi rappeler l’affaire Ilan Halimi, ce jeune juif séquestré puis sauvagement torturé et assassiné dans une cité de Bagneux en 2006 ?
Le rejet du Français de souche
Mais on constate que les agressions contre des Français « de souche » sont de plus en plus fréquentes. L’avocat Philibert Lepy, qui a créé il y a plus d’une décennie l’Association des victimes de violences, de discriminations et de spoliations, reçoit une vingtaine d’appels par mois pour des agressions anti-françaises en dépit de la faible médiatisation de sa structure. « J’ai connu un patron de bar en banlieue qui se faisait attaquer tous les jours pour avoir refusé une offre de rachat par des membres de la communauté arabe. Ces derniers venaient littéralement cracher dans l’assiette de ses clients ! Il a fini par vendre son bail et partir vivre en Bretagne. Mais j’ai obtenu des réparations », relate Me Lepy. « Néanmoins, globalement, les gens ont encore du mal à franchir la barrière, car ils se font culpabiliser en permanence. Le raciste, c’est forcément le Blanc, le Français. Alors ils hésitent à parler, à aller en justice ».
Que cache le phénomène des agressions anti-françaises ? Pour l’identitaire Gérald Pichon, auteur de Sale Blanc – chronique d’une haine qui n’existe pas (éd. Idées, 2013), il s’agit d’offensives gratuites en raison de l’origine ethnique. « On a donné à ces gens la haine du Français de souche, qu’il s’agisse de la musique Black qui prend ses modèles aux états-Unis avec le préjugé du Blanc esclavagiste ou de l’éducation nationale qui appelle à la repentance des populations européennes. Et dans ce monde qui se groupe et se communautarise de plus en plus, le Blanc est une proie plus facile, car il a quarante ans d’idéologie individualiste derrière lui ».
Ce livre, sources à l’appui, décrit toute la gamme du racisme anti-français : insultes dans la rue ou sur les réseaux sociaux, musiques de rap violemment agressives, dégradations de commerces autochtones, tentatives d’incendie d’églises, jusqu’aux viols et aux meurtres occasionnels ou prémédités. Et que font les politiques ? « En enquêtant, j’ai découvert qu’ils sont au courant depuis longtemps. Il y a huit ans, les Renseignements généraux déposaient un dossier sur le bureau du premier ministre qui ne traitait que de la seule question du racisme anti-blanc. Mais rien ne bouge. Nous sommes les dommages collatéraux de la politique multiraciale ».
En tout cas, s’ajoutant aux agressions individuelles, les policiers, à travers leurs rapports et les réclamations de leurs syndicats, les médecins qui se font agresser comme aux Mureaux et les pompiers qui se font caillasser, suffiraient à nourrir une chronique accablante.
Que ce soit planifié ou non, le résultat est bien qu’en France, des « territoires » de plus en plus nombreux subissent une « purification ethnique » de fait.
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